Photos : Le château et la rade de Brest (photo Arthaud). / Avec les deux tours énormaes qui encadrent sa porte, ses fossés profonds, son " paradis", les grands arbres qui l'ombragent, l'entrée du château en impose au visiteur (Photo Essi de Brest). / Inauguré en 1861, le grand pont se compose de deux volées tournantes pesant chacune 750.000 kilos (Photo Arthaud). / L'extrémité des rempartd établis par Vauban en 1683 (Photo Essi de Brest). / L'allée principale du cours d'Ajot (photo Arthaud). / Le pont de Plougatel est la porte triomphale par où l'Elorn entre dans la rade de Brest (Photo Chalois). / L'un des aspects de la grande rampe qui conduit au port de commerce. / Les courtines du château vues du Cours d'Ajot. / Le château qui conserve des substructions antiques, remonte dans son ensemble au XVe siècle (Photo Essi de Brest). / Les magasins généraux et l'entrée du port militaire (Photo Nozais). / Vue d'ensemble du Cours d'Ajot et dumonument à la Marine américaine (Photo Chalois). / Le port de commerce, les bassins et l'outillage (photo Chalois). / La nouvelle Ecole Navale (Photo Arthaud). / La grève du Moulin-Blanc en Saint-Marc (photo Chalois).

Illustrations : La statue d'Amphitrite, comme celles de Neptune et de l'Abondance qui décorent le Cours d'Ajot, est l'oeuvre du sculpteur Coysevox et provient de la cascade du château de Marly (dessin de Ch. Corcuff). / Lors de leur voyage en Bretagne, en 1858, l'Empereur Napoléon III et l'Impératrice Eugénie visitèrent longuement Brest. La gravure ci-dessous reproduite date de l'époque. Elle représente le débarquement de LL.MM. à la cale de l'Intendance. Au premier plan, se voit le canot dit de l'Empereur, conservé à l'Arsenal, et que l'on peut visiter. / L'église Saint-Louis, commencée à la fin du XVIIe siècle, n'a été terminée qu'au XVIIIe . Si, extérieurement, sa façade et sa tour sont de peu d'intérêt, il n'en est pas de même de l'intérieur. Le maître-autel en marbre rouge est de toute beauté (Dessin de Ch. Corcuff.) / Devant la direction du port se dresse la Consulaire, pièce de canon fondue en 1542 par les Venitiens. Elle appartenait aux Algériens. Lors du siège d'Alger par Duquesne. Levacher, consul de France près de Dey, fut placé vivant à la gueule de cette pièce qui fut déchargée contre l'escadre française. La consulaire est tombée au pouvoir des Français en 1833 (Dessin de Ch. Corcuff). / Napoléon III visitant les travaux du Grand Pont, alors en construction sur l'embouchure de la Penfeld (Gravure de l'époque).